Cette recette traditionnelle se prépare normalement avec du lapin mais je l'ai goûtée et grandement appréciée avec du poulet sur des pappardelle à Rome. C'est incroyable comme la viande très cuite et réduite en petits morceaux s'imprègne de toutes les saveurs du bouillon. J'ai pris ce que j'avais dans le placard et notamment des tagliatelles mais je conseille cependant d'utiliser des pappardelle.
Ingrédients
1 kg de hauts de cuisse de poulet
2 gousses d'ail
1 oignon
50 cl de vin blanc
1/2 branche de romarin
1 tige de thym frais
2 feuilles de laurier
4 carottes
1 branche de céleri branche
2 cs de persil
Sel, poivre
Accompagnment
Pappardelle ou tagliatelle
Pappardelle ou tagliatelle
Faire dorer la viande, côté peau dans un sautoir. Lorsqu'elle est bien dorée, ajouter l'ail écrasé, l'oignon coupé, les carottes détaillées en dés, le céleri émincé en tronçons, assaisonner avec thym, laurier, romarin et la moitié du persil.
Saler et poivrer. Mouiller avec le vin blanc et laisser mijoter presque une heure en retournant la viande à mi cuisson. Le poulet doit se déliter.
Ôter la peau et les os, couper la viande en petits morceaux et remettre le tout dans la marmite. Réchauffer le ragoût et faire cuire les pâtes. Servir en saupoudrant le persil restant, du jus de cuisson et des copeaux de parmesan fraîchement râpé, sans oublier un bon tour de moulin à poivre.
Direction Rome mais pour la première fois au printemps. Tant mieux, car le 21 avril, la plupart des musées de la ville sont gratuits en ce jour de la naissance de Rome.
De la piazza d'Aracoeli, gravir la rampe bordée d'azalées, flanquée au sommet des Dioscures |
A ce propos, c'est l'occasion d'aller visiter les musées capitolins et plus précisément le palais des Conservateurs, plus vieux musée public du monde qui possède quelques symboles de Rome, souvenirs de nos manuels d'histoire ou de latin.
La louve du capitole |
Le spinario ou tireur d'épine
Ne pas hésiter à se diriger vers la terrasse,
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En sortant, on quitte Marc Aurèle, (avant un petit saut à droite tout de même pour jeter un oeil au Forum et un petit saut à gauche pour visiter la chiesa Santa Maria in Aracoeli) et l'on se dirige via Condotti vers le "Caffè Greco", mon chouchou, mon havre de paix,
et à Rome, ce n'est pas un luxe. Je commande toujours un chocolat chaud. Le breuvage est sombre, épais, onctueux, parfait.
En rentrant à Paris, il a fallu que j'aille le comparer avec celui d'Angelina et honnêtement, je dois avouer que le chocolat italien était très nettement supérieur.