Une irrépressible envie d'endives au jambon alors que je n'avais pas de jambon. J'ai remplacé ce dernier par des oeufs. Certes, ça n'a rien à voir mais ce n'est pas mal non plus...
Une irrépressible envie d'endives au jambon alors que je n'avais pas de jambon. J'ai remplacé ce dernier par des oeufs. Certes, ça n'a rien à voir mais ce n'est pas mal non plus...
La saveur sucrée de la betterave adoucit celle plus costaud du hareng... Sur un blinis rechauffé au grille-pain et croustillant, c'est délicieux !
Avec les conserves de l'été, j'ai de quoi faire des desserts durant tout l'hiver. Ici, je mélange pommes et coings, une association qui fonctionne à merveille. Si les compotes sont sucrées, ne pas ajouter de cassonade pour les miettes.
Je remonte cette soupe car c'est l'automne et la soupe quotidienne au menu fait que le bortsch revient souvent. D'autant plus souvent à la maison qu'il est désormais préparé avec les betteraves et l'aneth du jardin... Il y a peu, je cuisais la betterave avant de l'insérer dans la soupe, ce qui est évidemment une perte de temps. Désormais, je l'épluche comme un navet et la mélange dès le départ aux autres légumes.
Pour clore la saison des coings et venir à bout de mon sacré stock, j'ai préparé de la compote que j'ai ensuite stérilisée. Mélangée à de la compote de pomme (ou pas), elle sera parfaite pour réaliser crumbles, tartes et autre flans. D'ailleurs, je reprends la recette du flan de Brigitte, en remplaçant les pommes par des coings : une version acidulée à souhait qui me plaît grandement. Je donne des proportions raisonnables car pour ma part, j'ai utilisé 4 kgs de coings parés pour fabriquer ma conserve de compote !
Totalement prise par les coings depuis trois semaines, je ne prends pas le temps de publier d'autres recettes sur le blog. Alors, j'ai décidé de remonter ce petit récapitulatif des années 50 que j'apprécie tant avec son veau Marengo, chou farci et autre boudin purée. Inventaire des recettes rétro, toujours inspiré du "Retour vers la cuisine" de Claire Pichon, que je cite pour l'introduction :
"Les années 50 constituent une sorte d'âge d'or de la cuisine bourgeoise. La guerre est finie, l'économie est en plein essor, l'électroménager fait enfin son entrée dans les cuisines.
On aime les plats riches souvent en sauce (bouchées à la reine, quenelles) ou spectaculaires et roboratifs comme le koulibiac. Les desserts aussi sont gourmands : à la crème au beurre ou au riz, avec beaucoup de sucre.
On se base sur un répertoire de recettes classiques et rassurantes, que certains qualifieront demain avec mépris de cuisine à papa, oubliant de préciser au passage, à quel point elle était savoureuse".
Quenelles de poisson sauce Aurore
"Dans les années 50, les loisirs et les transports de développent, mais les trajets sont encore longs : l'autoroute A6 n'est pas construite, les trains sont lents. Pour rejoindre la mer ou la montagne, on se prépare à de longues heures de trajet, parfois plusieurs jours. Il faut prévoir un pique-nique revigorant pour toute la famille ..."
Sandwichs au saucisson à l'ail
Et un peu de musique pour terminer en beauté :