C'est le moment de pique-niquer et rien de tel qu'un bon pâté, quelques cornichons et du pain croustillant. C'est copieux, ça se prépare à l'avance, c'est avantageux. Demandez de la gorge à votre charcutier, il se fera un plaisir de vous en vendre.
Pour une terrine d'1,5 l
500 g de foie de porc
750 g de gorge
3 cs de persil haché
2 œufs
2 bouchons de cognac
4 gousses d’ail
4 grosses échalotes
1 cc de sel
1 cc de poivre
1 cc de poivre
Thym
Laurier
Laurier
Huile d’olive
Farine
Préparer la viande : Hacher grossièrement au couteau la gorge avant de la passer au mixer. Faire revenir doucement les échalotes dans très peu d’huile. Ajouter le foie grossièrement coupé afin qu’il soit juste coagulé. puis le mixer. Mélanger dans le robot muni de la feuille, la gorge, le foie, les œufs, le persil, l’ail écrasé, le thym, le cognac, le sel et le poivre. Bien amalgamer. Verser le tout dans une terrine et placer la feuille de laurier sur le dessus. Couvrir et réserver jusqu’au lendemain pour que tous les arômes se développent.
Luter la terrine : Mélanger dans un bol de la farine avec un peu d'eau pour former un cordon de pâte qui va permettre de fermer hermétiquement le couvercle de la terrine : la vapeur ne s'échappera pas et toutes les saveurs resteront concentrées à l'intérieur.
Si l'on n'a pas de terrine avec un couvercle ou s'il reste juste un peu de préparation, on recouvre le récipient d'une abaisse de pâte à luter.
Cuire à four préchauffé à 180° pendant 1 heure. Laisser refroidir avec le couvercle. Meilleur 24 h après la cuisson. Se conserve une huitaine de jour, protégé par son couvercle.
Cuire à four préchauffé à 180° pendant 1 heure. Laisser refroidir avec le couvercle. Meilleur 24 h après la cuisson. Se conserve une huitaine de jour, protégé par son couvercle.
Le pâté de campagne fait définitivement parti des plaisirs interdits ici, dont je me régale une fois rentrée en France. Quand j'étais aux US, je faisais mes pâtés moi-même (ah ah ah demander de la "crépinette" à son boucher en anglais, un grand moment..), mais ici, même faire son pâté n'est pas envisageable. Alors quand je vois le tien, cela me fait vraiment saliver. Vivement les vacances!
RépondreSupprimerHeureusement qu'il y a Tellou pour dynamiser un peu ce blog qui manque cruellement d'échanges !!! J'aimerais qu'il y ait des questions, que l'on me fasse part de ses expériences, que l'on me donne des trucs et autres recettes, un trait d'humour bref que ça vive un peu plus, quoi. Chaque jour, le nombre de visiteurs augmente mais pas les commentaires. C'est dommage car j'ai l'impression de balancer des recettes sans jamais de retour.Mais la patience étant une vertu, espérons.
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RépondreSupprimerBonsoir
Je crois que je vais essayer en plus j'ai de la gorge dans le congélo!!!!!
J'attends les photos !
SupprimerDans mon enfance, au moins deux fois par an, "on tuait le cochon". Quand nous revenions de l'école, le pâté et les rillettes cuisaient dans de grandes bassines et les parfums étaient irrésistibles. Ma mère nous réprimandait lorsqu'elle nous surprenait à déguster le pâté encore chaud, prédisant que nous allions être malades. Je n'ai pas le souvenir d'avoir été malade, je ne me souviens que du plaisir. Adulte, je n'ai jamais fait de pâté avant aujourd'hui. Je n'avais même pas "pensé" que je pouvais acheter de la viande et faire du pâté sans que des quartiers de cochon n'aient été suspendus à côté de moi, que des boudins n'aient été préparés avant. Et voilà une limite qui est repoussée, avec ce pâté réalisé avec ta recette dont je te remercie. La photo arrive par mail.
RépondreSupprimerMerci Marie-Odile pour ce beau commentaire, je file voir les photos.
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